... (très improbable) qu'une politique particulièrement basse du front (nazi) émette sur un média public une affirmation puante prétendûment sourcée chez Mongénéral (en fait, on s'en fout, vu qu'on peut faire dire n'importe quoi à n'importe qui sur n'importe quel sujet, surtout s'il est mort depuis des décennies), les gaillards que voici pourraient lui opposer, dans le cadre des symboles républicains (*) sacrahééés de la Frahance étahernahellllle et du haut de leur art entièrement COS-MO-PO-LI-TE, une forme de réponse assez harmonieuse et qui transcende les vieilles lunes de frontières, drapeaux et autres hymnes.
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(*) Oui, REPUBLICAINS, p... de ... de *%??^@^ç#
Fin de soirée : et vous savez ce que c'est, on écoute ceci, on passe à cela... On trouve Galliano en état de grâce chez nos amis allemands. JAZZ ODER NIE !! Si l'on ne veut pas tout écouter (mais ce serait vraiment dommage), on peut aller directement à 53:00 pour une gnossienne absolument unique. C'est plus de la transcendance, c'est de l'envol... "There are songs within sounds that echo the breath of eternity", écrivait Shabaka Hutchings. Oui, et le ciel est dans les harmoniques et c'est encore une histoire de frontières qui s'ouvrent.
Galliano, oui, connu de mes "services", la porte d'entrée fut Nougaro...
J'aime son accordéon, un peu perdu de vue pourtant ces dernières années, avec des choix musicaux un peu "confits" ou "académiques" à mon goût.
Pour revenir au concert, dont j'ai écouté certains passages, le violon est malheureusement très/trop convenu et je décroche...
Quant à Tango pour Claude, c'est Nougaro, bien sûr, qui a d'ailleurs chanté cela en 1993, Vie Violence, album "Chansongs" .
Et pour la collaboration Nougaro-Galliano une oreille sera bienvenue du côté du morceau "Des Voiliers" paru en 1980 sur l'album du toulousain ASSEZ.
Le confit... C'est bon parfois (à petites doses :-)
Dans le concert en question (mais faut que je le réécoute), sur le violoneux, suis pas une spécialiste et ce n'est pas lui qui m'a le plus marquée. Des exemples de violon non convenu, please, on est preneuse !
Quant à l'accordéon non académique, on peut aller voir du côté d'Antonello Salis par exemple (découvert à JSLP 2010 au piano, nous avait bien scotchées), alors là c'est autre chose !
Mais moi bien aimer l'académique confit gallianesque aussi...
A petites doses, ça va.
Pour du violon déconfit (?) aller voir et entendre du côté de Régis Huby et Guillaume Roy par exemple, avec le quatuor IXI sans oublier le très bon Dominqiue Pifarely, compagnon de route -entre autres- de Sclavis !
Ben oui, Pifa évidemment... Je vois que tu n'as pas cité Lockwood ? Quant au quatuor XXL - pardon : IXI j'y cours, merci !
Ben non, pas Lockwood.
;-)
Ha ha ! C'était une taquinerie parce que je m'en doutais bien ;-)