Dans la page d'aujourd'hui de Fakirpresse.info, François Ruffin apporte avec moult détails un éclairage qui répond parfaitement à la plupart des questions posées dans le billet 319 - Merci qui ? du 24 avril.

Du moins sa réponse va-t-elle à l'essentiel : contextualiser la lutte racontée dans le film, en donner les tenants et les aboutissants, faire la pédagogie de la méthode, l'expliciter sinon la justifier car elle n'a pas besoin de l'être.

Restaient quelques questions de détail sur certaines personnes entrevues dans le film, mais basta : l'important, comme on se le disait avec un copain cet après-midi même, c'est que François Ruffin et l'équipe de Fakir ne se trompent pas de combat et, lorsqu'ils ont identifié la cible et arrêté leur plan, engagent le truc et vont au fond.

Un combat à la fois, et non pas signer cinq cents pétitions, s'éparpiller en manifs ici et là, oui, c'est sans doute la chose à faire. Perso j'y arrive pas bien. Faut dire que ça demande de la concentration, de l'acharnement, une disponibilité à toute épreuve, une rectitude de la ligne de conduite et aussi, de la ligne d'horizon, du cap à tenir. Un métier, quoi.

Modèle à suivre...?