« Pourquoi l'affaire Fillon est une catastrophe pour la France »

Le type qui a pondu l’article ainsi intitulé dans Le Point devrait s'emparer du truc portant le même nom que lui et s’en tirer une balle dans la tronche.

C’est ce que je ferais si j’étais capable d’analyses politiques aussi bêtes.

Real Trump

Avec une amie nous nous rendons compte que nous pensions, chacune de notre côté, la même chose de Trump : ce mec n’est pas vrai, c’est une poupée gonflable, il suffirait de lui piquer les fesses avec une épingle et il se dégonflerait devant nos yeux incrédules avec ce bruit caractéristique « shshshsfrrrrrlllll », et puis il n’en resterait plus rien. Ou, comme l’écrit mon amie : « C’est dingue, j’ai l’impression qu’on l’a fabriqué de toutes pièces ce Trump et qu’il n’est pas réel ; peut-être va-t-on assister à une désintégration du personnage comme dans les films futuristes ??? »

Ca doit être avec ce genre d’espoir que des millions d’Américains s’endorment chaque soir et ça leur fait des réveils amers.

En attendant, l’Amérique aux panneaux de carton, celle qui se masse dans la rue pour crier sa honte d’être gouvernée par ce pantin et sa solidarité aux immigrants et autres personnes attendant de pouvoir entrer dans le pays, elle est belle, elle donne une gratifiante image de l’humanité.

Aussi, la personne qui brandissait, le 29 janvier devant la Maison Blanche ce panneau ainsi libellé « Dear world, we’re sorry », peut être rassurée : chers Américains, ne soyez pas désolés ; nous savons que vous n’y êtes pour rien. Vous avez fait ce que vous aviez à faire et ça n’a pas marché.

Nous mêmes, ici, dans notre petit pays, bientôt, en avril prochain...

« NOOOOOOOON !!! »