Ici, belle et vertueuse déclaration de François Ruffin devant l'Assemblée (si on est un peu allergique, comme moi, à ses bafouillages d'émotif qui rendent parfois encore son propos incompréhensible - bien qu'il soit en net progrès à ce sujet - on peut lire son texte écrit en dessous, qui lui est parfaitement limpide).

C'est dommage que ce soit un affilié France Insoumise qui doive prononcer les phrases qu'aucun écologiste n'aurait, apparemment, eu l'idée d'émettre.

Après, si Ruffin part en campagne avec cette idée simple - mais lumineuse - de bâtir toute son action politique en partant du sort de la planète et en y rattachant le reste (et non l'inverse comme le font tous les politiques actuels en France) :

1 - il aura mon vote inconditionnel
2 - je serai peut-être la seule, ou bien nous serons une quinzaine (soit le nombre de destinataires du mail que j'ai envoyé avec ce texte, + les 2 ou 3 lectrices/teurs de ce blog et encore, ça se recoupe !)

Mais s'il veut arrêter les bétonneuses de Vinci, Ruffin, il se fera flinguer avant ou aura un accident de voiture, ou bien faudra qu'il pense à un plan pour fournir du boulot à tous ceux que ça laissera au chômage.

Cependant, comme le disait Coluche : « A la télé ils disent tous les jours : y a 3 millions de personnes qui veulent du travail. C’est pas vrai : de l’argent leur suffirait. »

C'était ma note optimiste du vendredi soir,
Bon week-end à tou.te.s !

L'an 01, le film - extrait